À propos de la Fondation
Myra’s Kids
OFFRIR DE L’ESPOIR AUX ENFANTS
APRÈS LA DOULEUR
La perte d’un être cher en début de vie est une expérience particulièrement dévastatrice. Notre objectif est d’aider les enfants endeuillés à accepter leurs émotions, à entamer un processus de guérison et à découvrir qu’il y a de l’espoir après le décès d’un être cher.
Tout au long de l’année, nous apportons un soutien aux enfants et à leur famille élargie en finançant et en mettant en œuvre des programmes qui visent à aider les enfants à faire face au deuil.
Chaque année, nous organisons un camp d’été durant lequel des enfants endeuillés peuvent honorer la mémoire d’une personne chère qui est décédée.
QUI NOUS SOMMES
En novembre 2016, Jon Reider fonde le Camp Erin Montréal, un camp gratuit d'aide au deuil pour les enfants de 6 à 17 ans. En recrutant Corrie Sirota, une spécialiste du deuil et de la perte bien connue et respectée dans le domaine, Jon veut faire de son rêve du Camp Erin Montréal une réalité. Après trois années d’activité fructueuse, Jon et Corrie se rendent compte que les besoins en services de soutien aux enfants endeuillés et à leurs familles dépassent ce qu’ils avaient imaginé.
En octobre 2019, Jon crée donc la Fondation Myra’s Kids avec la mission expresse de développer les services de soutien offerts par le camp et par d’autres ressources.
La Fondation Myra’s Kids est nommée en mémoire de la mère de Jon, Myra, qui est décédée lorsqu’il avait 3 ans. Grâce à ce nouvel organisme, Jon et Corrie espèrent étendre la portée de leurs actions en soutenant un plus grand nombre d’enfants et de familles en deuil dans la grande région de Montréal et ses environs.
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La Fondation Myra’s Kids est ma façon de rendre hommage à ma mère et de faire fructifier son héritage en m’assurant que nous apportons notre soutien à tout enfant souffrant du traumatisme de la perte d’un proche.”
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Notre objectif est d’offrir un endroit sécurisant et un lieu de parole aux enfants endeuillés pour leur permettre de guérir, tout en les aidant à découvrir que la vie continue après la perte d’un être cher. ”
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Personne n’est censé faire son deuil seul. Au camp, lorsque les enfants trouvent quelqu’un de leur âge qui, enfin, comprend ce qu’ils traversent, nous voyons se nouer des liens d’amitié profonds. C’est ce qui nous pousse à travailler dur, année après année, pour faire en sorte que ces liens perdurent.”
